Les commentaires de "monsieur PI" au billet précédent, notamment celui du 12 qui affirmait :
2 - L'école traditionnelle a été détruite, 3 - Cette destruction a été faite pour des raisons idéologiques (profitant essentiellement aux dominants qui ont éliminé des concurrents potentiels), 4 - L'école traditionnelle étant détruite, rien ne l'a remplacée...
invitent à revenir, de façon un peu sérieuse, sur cette notion particulièrement floue qu'est l'école dite "traditionnelle", ainsi que sur sa disparition. Face à la "refondation" annoncée, plus que timide et qui n'accepte ce nom qu'avec des guillemets, il est nécessaire de clarifier cette notion. Laurent Carle s'en est brillamment chargé, ce dont je le remercie chaleureusement. C'est aussi l'occasion de pointer, dans la forêt des transformations souhaitées — et sans doute pas prévues de sitôt — quelques aspects accessibles à tous, pour un coût relativement modique : deux sous de bons sens et un peu d'empathie pour les élèves...

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