L'avantage d'un été pourri, c'est qu'il laisse du temps pour lire, et pour écrire sur la lecture.
Il suffit alors d'un xième reportage démontrant la baisse du niveau en lecture grâce à la triste performance d'un malheureux enfant de CM, ânonnant péniblement sur quelques lignes de son manuel, pour que l'agaçante confusion "lecture / lecture à haute voix" donne une furieuse envie d'écrire un billet sur ce point.
Quand comprendra-t-on enfin que la lecture à haute voix n'est pas de la lecture, mais la communication orale d'une lecture, effectuée antérieurement, qu'elle concerne donc le travail sur l'oral (et pas du tout la lecture !), dont on peut même dire qu'elle en est l'un des aspects les plus difficiles ?

Lire la suite