Quand on ose dire que les livres ne sont pas choses de première nécessité, quand on traite les enseignants comme des enfants à surveiller, et quand on les balade d'ordres en contre-ordres, tout cela face à une pandémie menaçante, assortie de drames effrayants, on peut dire que le pays va mal et qu'il y a lieu d'être inquiets.

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