Ce titre, vigoureux, est celui d'un long commentaire, proposé par notre ami Laurent, au billet précédent. Il lui a été inspiré par les titres de certaines œuvres, écrites et publiées par des universitaires et autres agrégés, lesquelles nous dédouanent ainsi de tout reproche de grossièreté :
Jean-Paul Brighelli, "La Fabrique du Crétin. La mort programmée de l'école", Collection Folio documents, Gallimard
A. Bentolila, "Comment sommes nous devenus si cons ?" First Éditions.
Complétant admirablement mon billet d'humeur contre la "machine à Bento", il a sa place ici.

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