Le blog de l'amie scolaire : Questions de profs. Ce blog n'est pas un forum de débat entre partisans et adversaires de la pédagogie. Il veut être un lieu de réflexion et d'échanges pédagogiques destiné aux professionnels de l'école et à tous ceux qui s'interrogent, doutent, cherchent, souhaitent une aide à la recherche, à la pratique du métier, sans oublier les parents, bien sûr. Nous répondrons à toute question, non polémique... - Commentaires
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fr2015-12-20T20:50:08+01:00daily12015-12-20T20:50:08+01:00Pour éviter l'échec des élèves, suffit-il d'un « bon » prof ? - Delcourt
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2015-12-20T20:50:08+01:00DelcourtJulos pose LA question : "QUI?" pour former les formateurs.
Le plus scrupuleux d'entre nous, à la MAFPEN de lille s'était fortement posé la même question et, trouvant des éléments de réponse possibles, avait fini par démissionner, à mon grand regret. IL me semblait être le...Julos pose LA question : "QUI?" pour former les formateurs.
Le plus scrupuleux d'entre nous, à la MAFPEN de lille s'était fortement posé la même question et, trouvant des éléments de réponse possibles, avait fini par démissionner, à mon grand regret. IL me semblait être le rempart contre la certitude mais sa décision ne pouvait être autre. Je transmets son texte en PJ par courrier séparé.
]]>Pour éviter l'échec des élèves, suffit-il d'un « bon » prof ? - Eveline
https://www.charmeux.fr/blog/index.php?2015/12/17/280-pour-eviter-l-echec-des-eleves-est-ce-un-bon-prof-qu-il-faut#c12474
2015-12-20T12:20:35+01:00EvelineMême si ton billet, cher Pierre, n'invite pas à la fête, merci infiniment pour cette sublime citation d'Edgar Faure, dont le pouvoir comique fait un bien extraordinaire et nécessaire !
Comment arrêter l'immobilisme ? Question superbe et qui pourrait presque servir de titre à mon billet,...
Même si ton billet, cher Pierre, n'invite pas à la fête, merci infiniment pour cette sublime citation d'Edgar Faure, dont le pouvoir comique fait un bien extraordinaire et nécessaire !
Comment arrêter l'immobilisme ? Question superbe et qui pourrait presque servir de titre à mon billet, parce qu'en fait, c'est là que se trouve le problème. je lance un appel à tous les créatifs pour y répondre ...]]>Pour éviter l'échec des élèves, suffit-il d'un « bon » prof ? - Pierre Frackowiak
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2015-12-20T11:35:10+01:00Pierre FrackowiakJoyeuses fêtes de fin d'année à Eveline et à chacun de ses lecteurs et commentateurs... même si ce billet/cadeau n'invite pas à la fête. Mon dernier livre publié à la Chronique Sociale en décembre 2012 avait pour titre "L'école. En rire, en pleurer, en rêver". Je ne peux plus...Joyeuses fêtes de fin d'année à Eveline et à chacun de ses lecteurs et commentateurs... même si ce billet/cadeau n'invite pas à la fête. Mon dernier livre publié à la Chronique Sociale en décembre 2012 avait pour titre "L'école. En rire, en pleurer, en rêver". Je ne peux plus en rire, j'en pleure et je renonce à en rêver. Tout a été fait pour enterrer la refondation annoncée. On savait bien que prétendre refonder l'école avec les programmes débiles de 2008, avec la persistance encouragée de l'autoritarisme hiérarchique, avec la mode entretenue du pilotage par les résultats apparents, le tout sans mobilisation de la Nation pour une école du 21ème siècle, était une annonce vide de sens. Le rétablissement de la formation telle qu'elle était ou presque a achevé le projet. Le totalitarisme des disciplines cloisonnées reléguant les finalités aux tiroirs, le déni de la pédagogie, le conservatisme rampant avec l'aide de corporatismes à courte vue, ont définitivement condamné le rêve. Les IUFM avaient été créés pour la mise en place de la loi d'orientation mais il aurait fallu re-former les formateurs pour engager le système dans de nouvelles directions et rompre avec le passé. On n'en a pas eu le courage politique. Les ESPE, la mastérisation, la suppression de la formation et son rétablissement quasiment en l'état n'ont rien changé. L'idée d'un nouveau métier pour une nouvelle école s'est perdue dans les discours, les circulaires, les injonctions, les dispositifs, les parcours de ceci et cela, la paperasse, les disciplines ajoutées...
On sait pourtant depuis longtemps comment il faudrait faire. Eveline montre inlassablement (quel courage!) la voie. Mais aussi Philippe Meirieu, André Giordan, Claire Heber Suffrin, et tant d'autres... et les prospectivistes... et les philosophes... Rien n'y fait. Comme disait déjà l'intelligent Edgar Faure après 1968, "l'immobilisme est en marche et nous ne savons pas comment l'arrêter".]]>Pour éviter l'échec des élèves, suffit-il d'un « bon » prof ? - Julos
https://www.charmeux.fr/blog/index.php?2015/12/17/280-pour-eviter-l-echec-des-eleves-est-ce-un-bon-prof-qu-il-faut#c12472
2015-12-19T21:46:22+01:00JulosFreud considérait que le métier d'éducateur faisait partie des professions "impossibles".
Lorsque l'on mesure le défi que représente le projet, pourtant incontournable, de former les formateurs que sont les enseignants, je me demande, avec inquiétude, si l'on n'est pas là aussi...Freud considérait que le métier d'éducateur faisait partie des professions "impossibles".
Lorsque l'on mesure le défi que représente le projet, pourtant incontournable, de former les formateurs que sont les enseignants, je me demande, avec inquiétude, si l'on n'est pas là aussi dans un cas de "mission impossible".
Notamment lorsqu'il s' agit de répondre à la question : "Qui pour former les formateurs de formateurs ?" ]]>