Et pourtant, de la vergogne — et de la culture, pédagogique — quand on est ministre de l'Ecole, il lui en faudrait pour éviter le ridicule : affirmer comme si c'était une découverte récente, ce qui a été dénoncé comme une erreur, depuis plus de cinquante ans, ne saurait être un atout, pour personne, mais cela frôle la honte quand c'est un ministre qui tient ce genre de discours. Tentons de lui offrir quelques miettes, de cette culture qui lui manque...

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