Le 30 mars dernier, on a pu entendre sur les ondes de France Inter, dans la chronique d'Augustin Trapenard, une lettre magnifique d'Annie Ernaux, adressée au Président de la République, où l'on peut lire ceci :
Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes. Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité.

Notre ami Laurent a réfléchi sur ce qu'elle dit de l'école. Et, tel un célèbre pasteur, il a fait un rêve.

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