Et, surtout, sans s'occuper de ce qui leur manque et sans chercher à le leur rendre de force.
Ce désir, faussement généreux, et qui est toujours celui de notre actuel ministre, est peut-être l'un des plus graves reproches que l'on puisse faire à l'école depuis toujours.
Réfléchir ensemble sur ce point me semble indispensable pour cette étrange rentrée, après quatre années de déshumanisation systématique de l'école primaire, au profit de théories scientifiques sans conscience, qui ne sont, comme l'a si bien dit naguère un grand bonhomme, que ruines de l'âme... des enfants.

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