Elle revient de façon périodique, — régulière, comme les radis, chantait Francis Lemarque, à propos des "dernières" guerres. Mais ici il ne s'agit que de la fluence en lecture, c'est-à-dire du nombre de mots qu'il faudrait savoir lire par minute : c'est tout de même moins grave. C'est toutefois une notion assez agaçante, qui, certes, "en jette", comme on dit, mais sans avoir l'intérêt correspondant, et surtout qui, parfois, détourne des vrais problèmes de l'enseignement de la lecture, et rend possibles quelques dérives, aussi terrifiantes que ridicules.

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