C'est un principe, dont on ne doit jamais déroger : pas de décisions sur les jeunes de la classe ou de la maison, sans concertation avec eux. Mais monsieur Attal ne saurait s'arrêter à ce qu'il ose nommer de cette bien laide formule : "une culture de l'excuse". Il est vrai qu'on a aucune envie de l'excuser, lui : ses propos sont inexcusables. Propos de nanti qui craint pour son confort bourgeois et brandit la morale de celui-ci, pour s'en protéger.
Sauf que c'est le contraire de la morale.
Ministre aveugle et prétentieux, ses propos, sur ce qu'il ne connaît pas, font honte à l'Education Nationale, qu'il a l'audace de représenter.

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