Si quelques optimistes pensent que, sous prétexte que de nouvelles attitudes gouvernementales semblent enfin positives face aux problèmes sociaux, tout va prendre désormais la bonne direction, ils ont assurément tort devant ce qui se passe pour l'avenir de l'école. Et l'on doit être reconnaissant à Pierre Frakowiak de tirer la sonnette d'alarme dans un billet publié sur le site de Philippe Meirieu (1) : la vigilance la plus grande reste de mise, et si l'on n'y prend garde, le réveil à la rentrée risque d'être douloureux.

Lire la suite