lundi 24 octobre 2016
Et de querelles en querelles...
Par Eveline, lundi 24 octobre 2016 à 11:49 :: Education, Ecole et Pédagogie
Ou comment une vieille querelle vient réveiller celle qu'on croyait endormie.
Dans la série "Qui a tué l'école ?", notre ami Laurent Carle, inlassable chineur de pépites sur l'apprentissage de la lecture, vient de m'envoyer une pièce rare, que je n'hésite pas à partager avec les amis du blog, car elle apporte un éclairage nouveau sur un aspect particulier du débat qui nous préoccupe actuellement, celui de la dyslexie : les assassins de l'école sont-ils ceux qui, en choisissant d'enseigner la lecture et non le déchiffrage, s'efforcent d'empêcher la dyslexie, ou ceux qui prétendent la soigner après l'avoir provoquée ?
La dyslexie n'est-elle pas, en effet, le résultat logique, sinon évident chez des enfants fragiles, d'un enseignement INCOHÉRENT, qui prétend enseigner par le truchement des unités sonores (syllabes et phonèmes) de l'oral, une langue écrite, à laquelle on accède par les yeux, et qui ne traduit pas à l'écrit les syllabes de l'oral?
Dans la série "Qui a tué l'école ?", notre ami Laurent Carle, inlassable chineur de pépites sur l'apprentissage de la lecture, vient de m'envoyer une pièce rare, que je n'hésite pas à partager avec les amis du blog, car elle apporte un éclairage nouveau sur un aspect particulier du débat qui nous préoccupe actuellement, celui de la dyslexie : les assassins de l'école sont-ils ceux qui, en choisissant d'enseigner la lecture et non le déchiffrage, s'efforcent d'empêcher la dyslexie, ou ceux qui prétendent la soigner après l'avoir provoquée ?
La dyslexie n'est-elle pas, en effet, le résultat logique, sinon évident chez des enfants fragiles, d'un enseignement INCOHÉRENT, qui prétend enseigner par le truchement des unités sonores (syllabes et phonèmes) de l'oral, une langue écrite, à laquelle on accède par les yeux, et qui ne traduit pas à l'écrit les syllabes de l'oral?