Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

Le blog de l'amie scolaire : Questions de profs.

Ce blog n'est pas un forum de débat entre partisans et adversaires de la pédagogie. Il veut être un lieu de réflexion et d'échanges pédagogiques destiné aux professionnels de l'école et à tous ceux qui s'interrogent, doutent, cherchent, souhaitent une aide à la recherche, à la pratique du métier, sans oublier les parents, bien sûr. Nous répondrons à toute question, non polémique...

mardi 20 octobre 2015

Changer l'école... (suite)

J'ai souvenance qu'un certain matin de mai 2012, un enthousiasme juvénile m'avait pousser à rêver d'une autre école (1) ... Elle paraissait possible alors, et tous les espoirs étaient raisonnables. Trois ans après, un certain désenchantement saisit ceux qui avaient eu cet espoir, surtout après l'annonce du rejet par le CSE du projet de programmes, alors que ceux-ci, sans être parfaits (tant s'en faut !), ouvrent au moins une porte intéressante vers une autre manière de travailler. Et quand on songe que ceux de 2008 étaient passés comme lettre à la poste (de jadis), on a une étrange sensation de monde à l'envers...
Laurent m'envoie une suite à son billet, qui apporte du bon grain à moudre pour nos lecteurs... Je lui laisse la parole.

Lire la suite

vendredi 16 octobre 2015

L'école traditionnelle : pourquoi faut-il qu'elle change et en quoi ?

Les commentaires de "monsieur PI" au billet précédent, notamment celui du 12 qui affirmait :
2 - L'école traditionnelle a été détruite, 3 - Cette destruction a été faite pour des raisons idéologiques (profitant essentiellement aux dominants qui ont éliminé des concurrents potentiels), 4 - L'école traditionnelle étant détruite, rien ne l'a remplacée...
invitent à revenir, de façon un peu sérieuse, sur cette notion particulièrement floue qu'est l'école dite "traditionnelle", ainsi que sur sa disparition. Face à la "refondation" annoncée, plus que timide et qui n'accepte ce nom qu'avec des guillemets, il est nécessaire de clarifier cette notion. Laurent Carle s'en est brillamment chargé, ce dont je le remercie chaleureusement. C'est aussi l'occasion de pointer, dans la forêt des transformations souhaitées — et sans doute pas prévues de sitôt — quelques aspects accessibles à tous, pour un coût relativement modique : deux sous de bons sens et un peu d'empathie pour les élèves...

Lire la suite