Décidément, Gabriel Attal, est un excellent rajeunisseur : quand je lis ses écrits, je crois entendre mes grands-tantes, très "yavèka" ou "yauraka", pour qui "une bonne fessée cul-nu", était la base de toute éducation, digne de ce nom. Il en a même le vocabulaire : il faut, selon lui,"couper le jeune de ses mauvaises fréquentations"...
Ah ! Qu'en termes galants, ces choses-là sont dites !
Si l'on ne sait pas où ce jeune ministre a fait ses études, il suffit de l'écouter parler et on comprend tout de suite, que ce n'est ni à Gennevilliers, ni à Barbès, ni dans les quartiers nord de Marseille.

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Et pourtant, leur existence est une antienne qui ne se décourage pas. C'est ce qui inquiète le plus.
Une fois de plus, ce blog se doit de dénoncer cette erreur gravissime des décideurs de l'école primaire, déjà dénoncée par trois fois sur ce blog : en août 2021, et deux fois en octobre, (le 5 et le 24 ).
Je rappelle à ceux qui, trop jeunes, n'ont pas pu la connaître, que cette erreur, à la fois psychologique et pédagogique, fut dénoncée, de manière définitive, par les travaux de Jean-Pierre Changeux, dans les années 70-80. A noter qu'ils n'ont jamais été remis en question. Simplement oubliés : l'inculture de ceux qui nous dirigent est proprement ahurissante.

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